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lundi 17 décembre 2007

Marrakech, la Koubba Almoravide


La Koubba Almoravide est l'unique témoin architectural de l’époque Almoravide...
Situé au cœur de la médina de Marrakech à coté de la mosquée Ben Youssef, La Koubba était jusqu’en 1948 ensevelit, et c’est à la suite de fouilles archéologiques qu’elle a été découverte.
La Koubba Almoravide qui dépendait d’une mosquée proche était destiné aux ablutions. Ce monument se présente sous forme d’une somptueuse coupole édifiée au dessus d’un bassin rectangulaire que ceinturent les vestiges de petites cellules qui faisaient office de latrines.

mercredi 5 décembre 2007

Meknès, le Pavillon des ambassadeurs

Le Pavillon des ambassadeurs est Situé à l'intérieur de la Kasbah Ismaïlienne dernière la porte dite Bab El Mansour Laalej.
Il sagit un pavillon isolé de forme carré construit a la fin du XVIIeme siècle par le Sultan Moulay Ismaïl qui y recevait les ambassadeurs et les émissaires étrangers en visite à Meknès. Sur le mur de fond de la salle figure la plaque commémorant l'inscription de la ville de Meknès au patrimoine mondial par l'UNESCO en décembre 1996.

Meknès, Rirha ou l'antique de Gilda

Situé à 8 Km au nord de Sidi Slimane sur la rive droite de l’oued Beht, (environ 80 km au nord de Mekhnès et à l’Est de Kenitra)
Bien que le site de Rirha, ne soit que partiellement dégagé, les fouilles permettent d’indiquer la présence romaine située entre le Ier siècle après J.-C. et le IIIème.
Les traces d’une enceinte construite en blocage parementé, qui devait être percée d’une porte, les restes d’un établissement thermal, un bâtiment composé de six pièces ouvertes sur un péristyle à quatre colonnes et dont les trois centrales conservent des traces de fresques sont les seules vestiges actuellement visibles sur le
site.
Le site de Rirha est identifié comme la ville antique de Gilda citée dans les sources antiques.

mardi 27 novembre 2007

Salé, Fête de la bougie

La fête de la bougie à Salé est liée au calendrier islamique et se déroule la veille du Mouloud. Les principaux membres de l’association des artisans défilent en procession en portant des bougies. Elles sont déposées ensuite au pied du marabout de Sidi Abdallah ben Hassoun, le saint patron de la ville de Salé. Ensuite, la ville entière est en fête.

vendredi 23 novembre 2007

Tétouan, la médina

La médina de Tétouan, telle qu’elle se présente aujourd’hui, est le résultat d’une refonte et d’une fusion de différentes cultures autochtone, ottomane, européenne et andalouse.
La médina de Tétouan qui, dans sa trame urbaine comme dans l’interprétation architecturale de ses édifices, reflète une notion de tolérance religieuse et culturelle parmi les plus grandes au Maroc, représente aujourd’hui un héritage culturel humain qui conjugue à la fois des siècles d’histoire et surtout des structures socio-économiques et des modes d’organisation de l’espace qui trouvent leurs références dans la cité islamique traditionnelle de l’occident musulman et surtout de l’Andalousie
musulmane.
La médina de Tétouan s’étend sur une superficie de 50 hectares et se ferme à l’intérieur d’une muraille historique dont le périmètre est estimé à 5000m2. C’est un espace urbain complexe qui reflète la complexité même de la vie et ses activités ; ville à la fois militaire, religieuse et mystique, ville commerçante et enfin diplomatique à un certain temps, ce centre historique se caractérise malgré tout par la simplicité et la fragilité de son patrimoine architectural et de son paysage urbain, c’est surtout un site à une échelle humaine, il se caractérise surtout par le traitement que par le volume de ses monuments.
La médina de Tétouan est entourée d’une enceinte qui fait 5 Km de périmètre, son épaisseur est de 1.20 m. La hauteur depuis la base jusqu’au sommet des merlons varie entre 7 et 5 mètres suivant la topographie des lieux. L’entrée à la médina s’effectue par les sept portes qui percent cette enceinte de tous les côtés. La construction de cette enceinte s’est effectuée sur plusieurs étapes entre le XV ème et le XVIII ème siècles.
Kasaba de Sidi al-Mandri Elle domine l’angle Nord-Ouest de la ville primitive. Cet emplacement lui permettait de contrôler tous les accès à partir d’un mirador qui surélève un bastion. L’ensemble des monuments qui forment la Qasba dite de Sidi al-Mandri a été construit à la fin du XV ème siècle lors la reconstruction de la médina de Tétouan. Formée d’une forteresse, d’une mosquée cathédrale, d’une maison et d’un petit Hamam. Cette Qasba constituait, jadis, le siège d’un pouvoir politique un Ribat et une forteresse militaire et aussi un lieu d’habitat pour le fondateur et ses proches.

vendredi 16 novembre 2007

Meknès, le palais royal al Mhancha

Construit au début du XVIIIème siècle pour abriter la résidence du Roi, le palais royal al Mhancha est situé dans la Kasbah ismaïlienne.
Le palais royal construit de forme rectangulaire de 400 m de long sur 240 m de large est entouré par un rempart , bastionné et couronné d'un chemin de ronde sur son flanc sud , Un Meshouar (une vaste place) est située devant le rempart Est du Palais.

vendredi 19 octobre 2007

Oujda, la grotte de Taforalt


La grotte de Taforalt se situe dans le Maroc oriental, à 55 Km au nord ouest d'Oujda.
Commencées en 1951 par l'abbé Roche les fouilles ont été poursuivies par le service marocain de l'archéologie en coopération avec la mission archéologique française à partir de 1969.
Les datations effectuées ont montrées que l'occupation Ibéromaurisienne de ce site s'intercale entre 21 900 BP et 10 800 BP, l’occupation l'Atérien a donné des dates qui se situent entre 32.000 et 40.000 ans BP.
La grotte de Taforalt est d'une grande importance puisqu'elle a livré plusieurs restes humains,
des objets de parure et des restes fauniques

mercredi 19 septembre 2007

Kénitra, Le site de Thamusida

Le site de Thamusida (Sidi Ali ben Ahmed) se trouve au bord du Sebou, sur sa rive gauche, à 10 km à vol d’oiseau en amont de la ville de Kénitra. Les ruines d’une superficie de 15 hectares occupent des éminences culminant de 9 à 13 m.
La région de Sidi Ali ben Ahmed, et probablement le site lui-même, ont été occupés aux temps préhistoriques.
Vers le milieu du IIème siècle avant J.-C., le plateau qui domine le fleuve dans la partie nord du site porte un habitat caractérisé par une architecture en terre et par la présence de vases céramiques peints. L’agglomération maurétanienne continua à exister jusqu’à la conquête romaine. Les recherches récentes effectuées à Thamusida témoignent de l’existence d’une occupation antérieure
au IIème siècle av. J.-C.
Dès le règne de Claude (41-54 après J.-C.), des constructions en dur se multiplient. Thamusida abrite probablement un port actif dont témoignent les nombreux débris d’amphores entourant le plateau et devient un point de débarquement et un centre romain de ravitaillement.
Sous les Flaviens (69-96 après J.-C.), une garnison militaire romaine séjourne sur les lieux. La ville donne des signes de croissance ; elle se dote d’un temple (le Temple à bossages), de thermes et de maisons d’habitations dont une à cour centrale.
Sous Trajan (97-117 après J.-C.) ou sous Hadrien (117-138 après J.-C.), une nouvelle structuration de l’espace urbain semble avoir lieu en conférant à la ville un plan d’urbanisme orthogonal où s’inscrivent les thermes reconstruits et le petit temple du nord-est dédié à Vénus-Astarte. Le développement et l’enrichissement de la ville se reflètent dans l’agrandissement et la transformation continue des thermes du fleuve, dans la construction de nouveaux temples bordant la rive du Sebou et de nouvelles habitations dont la Maison du dallage qui adopte le plan des riches demeures de Volubilis et d’Espagne. Des maisons modestes, des ateliers et des locaux utilitaires occupent des quartiers entiers. En plus de ses fonctions commerciales et industrielles qui sont à l’origine de son développement, la ville de Thamusida devait jouer un rôle militaire important. Elle était peuplée de vétérans et sous Marc-Aurèle (161-180 ap. J.-C.), on y construisit la plus grande forteresse de Tingitane pour assurer la protection de la population civile. Sous Commode (176-192 ap. J.-C.) ou Septime Sévère (193-211 ap. J.-C.), la ville se dote d’une enceinte qui a remployé des stèles funéraires et écrasé une partie de la riche Maison du dallage, ce qui indique que l’ouvrage fut dicté par la crainte d’un danger proche ou lointain.
Au III ème siècle, la ville est toujours active si on en juge par l’étendue des thermes du fleuve et la densité des trouvailles céramiques jusqu’à ce que survienne l’abandon définitif. Ce dernier a eu lieu entre 274 et 280 après J.-C., mais on ne sait pas s’il est consécutif au départ de l’armée ou à une cause postérieure. Des trouvailles éparses et quelques murs ainsi que des ébauches de fortifications repérés dans les ruines de Thamusida attestent d’une occupation éphémère des lieux postérieure à la date de l’évacuation

vendredi 7 septembre 2007

Meknès, la porte Bab al Mansour


La porte Bab al Mansour est située face à la place El hdim.
Elle fut construit par le Sultan Moulay Ismaïl et achevée par son fils Moulay Abdellah (1732).
Ce monument possède une ouverture de 8 m de hauteur sous forme d'un arc brisé. Ce dernier est orné de rinceaux en céramiques exisés et s’encadre d'un large bandeau constitué par un treillis en relief sur fond de mosaïque polychrome, dont la couleur dominante est le vert.
Elle est supportés par des colonnes massives de marbre blanc surmontées par des chapiteaux de style antique .

mardi 4 septembre 2007

Oualidia, présentation de la ville

Charmante station balnéaire et paisible village de pêcheurs, entre mer et lagune (avec ses parcs à huîtres !), à mi-chemin entre El-Jadida et Safi - très prisée des Marocains l’été et … des amateurs de poissons et de crustacés.
Un site superbe, resté naturel, Belle plage en anse, protégée de l’océan par une barre d’îlots, où il est agréable de se baigner (en restant dans les eaux calmes) et de pratiquer la planche à voile. Les amateurs d’oiseaux auront l’occasion d’admirer des flamants, des goélands, des barges et des échasses. Pour observer d’autres espèces, se diriger vers les lagunes, les cours d’eau et les lacs salés, qui commencent au nord, du côté de Sidi Moussa : c’est l’endroit idéal pour apercevoir des
cormorans, des canards, des
mouettes et des échassiers…


jeudi 12 juillet 2007

Larache : La Bataille des Trois Rois

Le 4 août 1578, l’armée marocaine commandée par Moulay Abdelmalek Es-Saâdi, oncle du roi Moulay Mohammed (à qui il avait pris le pouvoir…), livrait bataille sur la rive gauche de l’oued Makhazen à l’armée portugaise...
Le jeune roi du Portugal, Sébastien 1er, sous prétexte d’aider Moulay Mohammed à retrouver son trône, cherchait surtout à reconquérir les villes autrefois investies par les Portugais (Agadir, Mogador, Safi, Azemmour, etc.), qui n’avaient conservé que trois places fortes au Maroc, Mazagan, Tanger et Ceuta.
Le destin voulut que ces trois souverains périssent dans la bataille, d’où le nom de bataille des Trois Rois sous lequel elle est passée à l’Histoire.
Ce fut l’une des batailles les plus
meurtrières de l’histoire du 16ème siècle, et qui eut pour conséquence pour le Maroc de l’avènement du frère d’Abdelmalek, Abou el Abbas Ahmed, qui monta sur le trône le soir même du combat, se voyant octroyer en cette occasion le surnom d’El-Mansour, le Victorieux…
Au Portugal, le roi Sébastien n’ayant pas de successeur, elle entraîna l’annexion du pays par l’Espagne de Philippe II, et la naissance d’un mythe vivace, selon lequel le jeune roi reviendrait un jour retrouver son trône…

mercredi 27 juin 2007

Tétouan, le Royal Golf de Cabo Négro

Derrière Tétouan et les sommets du Rif , dans un lieu enchanteur entre ciel et mer, le Royal Golf de Cabo Négro, a été dessiné par Hawtree & Sons, dans la plus pure tradition britannique.
Le parcours de 9 trous offre un tracé spontané et naturel en bordure de Méditerranée seulement séparé par quelques dunes de sable et une végétation basse sculptée par le vent.
Les fairways des trous n°1 et 2 trous peuvent bien se permettre d'être larges et généreux, car leurs greens sont farouchement gardés par des arbustes touffus. Le trou numéro 3 joue des dunes, le n°5, un superbe par 5 à flanc de colline, est barré d'un ruisseau.

mercredi 30 mai 2007

El Jadida, Moussem de Moulay Abdallah











Le village de pêcheurs de Moulay Abdallah, au sud d’El Jadida est, au mois d’août, le lieu où se déroule l’un des plus beau moussem de tout le Maroc. Les points culminants de ce pèlerinage vers la Zaouia du Saint sont constitués par des jeux équestres, des fantasias, où les cavaliers montrent leur agilité exceptionnelle.

vendredi 25 mai 2007

Chefchaouen, La grande mosquée El Masjid El Aadam

La grande mosquée « El Masjid El Aadam » a été construite par Mohammed Ibn Ali Ibi Rachid en contiguïté de la Kasbah...
C’est une mosquée à nefs longitudinales relevées par des arcs plein cintre, la salle de prière dispose de quatre portes : la porte principale Bab El Hamraa, Bab El Janayaz, Bab El Wodoua, Bab El Madrassa. Son minaret octogonal représente le style très caractéristique des minarets du nord du Maroc notamment de Tanger et de Tétouan…

lundi 14 mai 2007

Larache, Le Musée archéologique

Le Musée archéologique expose essentiellement les objets archéologiques mis au jour dans le site de Lixus.
Les collections présentées couvrent une longue période de l'histoire du Maroc, allant de l'époque phénicienne jusqu'à l'époque islamique en passant par les époques carthaginoise, mauritanienne et romaine, le musée permet également de découvrir divers aspects du Maroc préislamique par ses nombreuses pièces de monnaie et quelques objets antiques.
Le Maroc islamique y est aussi largement représenté. On y trouve, entre autres, des pièces des dynasties Almohade et Mérinide…

jeudi 19 avril 2007

Hotel Maroc


Toutes les chambres sont équipées de climatisation chaud/froid. Accès Internet. Bureau de change. Hammam gratuit.


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